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Le Jihad dans l’islam : ce que disent les exégètes musulmans


Les attentats du mois de janvier à Paris, les crimes de l’État Islamique, crucifiant, brûlant et décapitant les infidèles, les massacres à répétition de chrétiens en Afrique, rendent toujours plus insoutenable le mythe d’un islam de « paix et d’amour. » Les bonnes âmes, sans ne jamais prendre la peine d’ouvrir le Coran pour vérifier leurs dires, professent que tout cela « n’a rien à voir avec l’islam » et nous conjurent de ne pas faire « d’amalgames », menaçant les plus dubitatifs d’intenter des procès en islamophobie à leur encontre. Il parait pourtant évident à quiconque sait raisonner autrement que sous le joug de la police de la pensée, que toutes ces ignominies correspondent à l’application stricte des préceptes de l’islam, parmi lesquels figure le Jihad. 

Nous nous demanderons si le Jihad constitue un moyen de propager l’islam à travers le monde, par la conversion forcée des infidèles, ou s’il a une vocation purement défensive comme certains le prétendent.

Le jihad, qui signifie en arabe « lutte » ou encore « guerre menée au nom d’un idéal religieux » (1), trouve ses racines dans le Coran. Plusieurs versets, révélés successivement à Mahomet, ordonnent aux croyants de combattre « dans le sentier d’ Allah ».

Le verset 190 de la Sourate 2 est le premier d’entre eux :

« Et combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes, Allah n’aime pas les transgresseurs ! »

À première vue, ce verset s’applique dans le cadre de la légitime défense, les musulmans étant appelés à combattre en retour ceux qui les combattent.

Citons à présent le Tafsir al-Qortobi :

« Sa parole : ‘ et combattez ‘, ce verset est le premier verset révélé concernant l’ordre du combat. (…) Quand il a émigré à Médine, l’ordre du combat a été révélé : « et combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent ». Ar-Rabî’ bin Anas et d’autres ont dit cela, mais Abu Bakr as-Siddîq a rapporté que le premier verset au sujet du combat est : ‘ permission est donnée à ceux qui sont combattus car ils sont opprimés ‘ (22:39). Le premier verset est le plus souvent cité.

Le verset de la permission de combattre a été révélé concernant le combat général, il s’agit de combattre aussi bien ceux qui ont combattu parmi les polythéistes que ceux qui n’ont pas combattu. Cela se réfère au moment où le Prophète est parti avec ses compagnons vers La Mecque pour le petit pèlerinage. Il est descendu à al-Houdaybiya près de La Mecque. Al-Houdaybiya est le nom d’un puits et ce lieu a été ainsi nommé à cause du nom de ce puits. Les polythéistes l’ont refoulé de la Maison sacrée. Il est alors resté un mois à Al-Houdaybiya. Ils se sont mis d’accord sur le fait qu’il pourra revenir l’année suivante à La Mecque durant une période de trois jours et qu’il n’y aura pas de combat entre eux pendant dix ans. Il est ensuite retourné à Médine. Quand le moment est arrivé, il s’est préparé pour la ‘omrat al-qadâ’, mais les musulmans craignaient une traîtrise de la part des mécréants et détestaient l’idée de combattre dans l’enceinte sacrée ou les mois sacrés. Alors ce verset a été révélé, c’est-à-dire, il vous est permis de combattre si les mécréants vous combattent. Le verset est lié à ce qui a été mentionné précédemment sur le pèlerinage et sur le fait d’entrer dans les maisons par la porte arrière.

Le Prophète combattait ceux qui le combattaient et évitait ceux qui l’évitaient, jusqu’à ce que fut révélé ‘tuez les infidèles‘ (9:5). Ce verset est abrogé, c’est l’avis d’un groupe d’oulémas. Ibn Zayd et ar-Rabî’ ont dit que ‘combattez tous les polythéistes‘ (9:36) l’a abrogé. C’est l’ordre de combattre l’ensemble des mécréants. Ibn ‘Abbâs, ‘Omar bin ‘Abd al-‘Azîz, et Moujâhid ont dit : c’est un verset toujours en vigueur, c’est-à-dire, ‘ combattez ceux qui vous combattent et ne transgressez pas en tuant les femmes, les enfants, les moines et d’autres gens semblables’ »

Le savant al-Qortobi exprime clairement que le verset ordonne de tuer les infidèles, qu’ils aient ou non initié les combats. Il dit également que Mahomet « évitait ceux qui l’évitaient », mais que cette prescription a été ensuite abrogée.

Parlons à présent de ces versets abrogeant. Ils sont contenus dans la Sourate 9, l’avant-dernière révélée à Mahomet.

Il s’agit premièrement du verset 5 de la Sourate 9 :

« Après que les mois sacrés aient expirés, tuez les infidèles partout où vous les trouverez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. S’ils se repentent, accomplissent la prière et s’acquittent de la zakât, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est pardonneur et miséricordieux. »

Hassan ‘ibn Fadl a dit dans son Tafsir :

« Ceci est le verset du sabre. Il a abrogé tous les versets qui parlent de la patience face aux provocations et maux causés aux croyants par les ennemis de l’Islam »

Le Tafsir Mouhammad ‘ibn Ahmad, dit pour sa part:

« Ceci abroge les versets qui parlent de la tolérance envers les mécréants et de la patience face à leurs provocations. La dernière Parole d’Allah à ce propos est le verset avec lequel Il ordonne le Djihad contre les polythéistes : « … tuez les polythéistes … » ».

Tafsir Ibn Kathir :

« Sa parole « tuez les infidèles partout où vous les trouverez », c’est-à-dire, sur la terre, et ceci est de portée générale. Et l’avis qui prévaut est qu’il est spécifié que le combat est interdit dans la Mosquée sacrée par Sa parole : « mais ne les combattez pas près de la Mosquée sacrée avant qu’ils ne vous y aient combattus. S’ils vous y combattent, tuez-les donc » (2.191).

Sa parole : « capturez-les » signifie faites-les prisonniers, et si vous le voulez, tuez-les ou retenez-les captifs.

Sa parole : « assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade » veut dire n’attendez pas de les trouver, mais cherchez-les, et assiégez leurs forteresses et fortifications. Guettez leurs routes et leurs chemins afin de réduire leur espace et de les contraindre à choisir entre l’islam ou la mort. C’est pourquoi Il a dit : « s’ils se repentent, accomplissent la prière et s’acquittent de la zakât, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est pardonneur et miséricordieux« .

Abou Bakr as-Siddiq s’est appuyé sur ce verset pour combattre ceux qui refusaient de verser la zakât. Il est interdit de les combattre s’ils se plient à ces conditions et embrassent l’islam et suivent ses règles.(…)

Ce noble verset est le verset de l’épée concernant lequel ad-Dahhâk bin Mouzâhim a dit : « le verset abroge tout engagement entre le Prophète et n’importe quel polythéiste, tout traité de paix et tout délai. »

Al-‘Awfi a rapporté qu’Ibn ‘Abbâs a dit au sujet de ce verset : « il n’y a plus de traité de paix ou de dhimmitude pour aucun polythéiste depuis la révélation de la sourate Barâ’a. Tout traité de paix avec les polythéistes se termine à l’expiration des mois sacrés, ou au terme fixé avant la révélation des quatre mois, le dix du mois de rabî’ al-‘akhir ».

‘Ali bin Abi Talha a rapporté qu’Ibn ‘Abbâs a dit à propos de ce verset : « Allah lui a ordonné d’user de son épée contre ceux qui avaient conclu un pacte avec lui s’ils ne se convertissent pas à l’islam. Il a résilié les engagements et les traités les concernant et supprimé la première clause. »

Ibn Abi Hâtim a dit : mon père nous a rapportés : Ishâq bin Moussa al-Ansâri nous a rapportés : Sofyân a dit : ‘Ali bin Abi Tâlib a dit : le Prophète a été envoyé avec quatre épées : l’épée contre les polythéistes arabes, Allah a dit : « tuez les infidèles partout où vous les trouverez » [il l’a rapporté ainsi de façon concise]. Je pense que la deuxième épée est le combat contre les gens du Livre du fait de Sa parole : « combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la jizya de leurs propres mains et qu’ils soient humiliés » (9.29). La troisième épée est le combat contre les hypocrites dans Sa parole : « Ô Prophète ! Lutte contre les mécréants et les hypocrites » (9.73). Et la quatrième épée est le combat contre les injustes dans Sa parole : « et si deux groupes de croyants se combattent, faites la conciliation entre eux. Si l’un d’eux se rebelle contre l’autre, combattez le groupe qui se rebelle, jusqu’à ce qu’il se conforme à l’ordre d’Allah » (49.9). »

Abder Rahman ibn Hassan a dit :

« Dans le Coran et dans la Sounna, il n’existe aucune preuve que le Djihad est une obligation à une époque, et ne l’est pas à une autre. »

Intéressons-nous à présent au verset 29 de la Sourate 9 :

« Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la jizya de leurs propres mains et qu’ils soient humiliés. »

Tafsir Ibn Kathir :

« Sa parole « combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la jizya de leurs propres mains et qu’ils soient humiliés » : quand ils ont mécru en Mohammad, leur foi dans les Messagers et ce qu’ils ont apporté n’était pas sincère, ils suivaient plutôt leurs idées, leurs désirs, et leurs ancêtres, mais pas la loi d’Allah et sa religion. S’ils avaient cru en leur religion d’une foi sincère, cela les aurait conduits à la foi en Mohammad, car tous les prophètes l’ont annoncé et ordonné de le suivre. Lorsqu’il est arrivé, ils ont mécru en lui alors que c’était le plus noble des Messagers. Ils n’ont donc pas adhérer à la loi des précédents prophètes, puisque celle-ci vient d’Allah, à cause de leur bonne fortune et de leurs désirs. Par conséquent, ils ne tirent aucun avantage de leur foi dans les précédents prophètes, car ils ont mécru en leur maître, le meilleur, le dernier et le plus parfait des prophètes. C’est pour cette raison qu’Allah a dit : « combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre ». Ce noble verset fut le premier révélé avec l’ordre de combattre les gens du Livre, après que les païens aient été vaincuset que les gens soient entrés en masses dans la religion d’Allah et la péninsule arabique sous contrôle. Allah a ordonné à son Prophète de combattre les gens du Livre, les juifs et les chrétiens, en l’an neuf de l’hégire. C’est pourquoi le Messager d’Allah s’est préparé au combat et a appelé les gens à cela en leur dévoilant ses intentions. Il a envoyé un message aux tribus aux alentours de Médine et les gens se sont joints à lui. Il a rassemblé environ trente mille combattants. Plusieurs personnes originaires de Médine ou de ses alentours, et parmi elles des hypocrites et d’autres qu’eux, n’ont pas répondu à l’appel à cause de la grande sécheresse et de la chaleur intense. Le Messager d’Allah est parti en direction de la Syrie pour combattre les romains. Il a fait halte à Tabouk et y a séjourné une vingtaine de jours. Il a ensuite demandé à Allah s’il devait rentrer à Médine, puis il a pris le chemin du retour car c’était une année difficile et les hommes étaient faibles, comme nous allons l’expliquer si Allah le veut.

Sa parole « jusqu’à ce qu’ils versent la jizya » veut dire : s’ils refusent de se convertir à l’islam ; « de leurs propres mains », c’est-à-dire, qu’ils y sont contraints et rabaissés ; « et qu’ils soient humiliés » signifie qu’ils sont méprisables, vils, et déshonorés. C’est pour cela qu’il n’est pas permis d’honorer les gens de la dhimmitude ni de les élever au-dessus des musulmans étant donné qu’ils sont misérables, dévalorisés, et rebelles, à l’exemple de ce qui est indiqué dans le Sahih Moslim : Abi Horayra a rapporté que le Prophète a dit : « ne saluez pas les premiers les juifs et les nazaréens, et si vous rencontrez l’un d’eux sur une route, forcez-les à passer sur le côté le plus étroit du chemin ».

Rappelons le verset 29 de la Sourate 9:

« Combattez ceux qui ne croient pas en Allah, et au jour dernier ».

Cette section débute en réalité au verset précédent, que je cite :

« Ô vous qui croyez ! Les associateurs ne sont qu’impureté, qu’ils n’approchent plus de la mosquée sacrée, après cette année-ci. Et si vous redoutez une pénurie, Allah vous enrichira, s’il veut, de par sa grâce. Car Allah est omniscient et sage. » Sourate 9, verset 28.

Voyons à présent le verset 30 de la Sourate 9 :

« Les juifs disent: Uzayr est le fils d’Allah et les chrétiens disent: Le christ est le fils d’Allah. Telle est la parole provenant de leurs bouches. Ils imitent les dire des mécréants avent eux. Qu’Allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils de la vérité ! ».

Intéressons-nous enfin au verset 31 de la Sourate 9:

« Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Christ fils de Marie, comme seigneurs en dehors d’Allah, alors qu’on ne leur a commandé que d’adorer un Dieu unique. Pas de divinité à part lui ! Gloire à lui ! Il est au dessus de ce qu’ils lui associent ».

Au regard de ces versets, Il est explicitement ordonné de combattre les juifs et les chrétiens en raison de leur croyance, et non parce qu’ils auraient entrepris des combats contre les musulmans.

Revenons maintenant au Tafsir Ibn Kathir, dans son commentaire sur le verset 30 de la Sourate 9:

« Combattre les juifs et les chrétiens, c’est permis, car ils sont idolâtres et mécréants. Allah l’exalté encourage les croyants à combattre les polythéistes, les mécréants juifs et chrétiens qui ont prononcé cette terrible parole et prononcent des mensonges contre Allah, l’exalté. Quand aux juifs, ils proclament que Uzayr était le fils de Dieu. Allah est au dessus de ce qu’ils lui attribuent. Et quand à la mauvaise direction des chrétiens sur Isa, elle est évidente ».

Citons à présent Mahomet :

« Il m’a été ordonné de combattre les hommes jusqu’à ce qu’ils témoignent qu’il n’est d’autre divinité qu’Allah, et que Mohammed est Son Envoyé. »

Ce hâdith a été rapporté plus d’une centaine de fois dans la Sahîh Al-Boukhari, dans le sahih Moslim, chez Al Nawawi, etc. 

Dans son Tafsir, at-Tabari rapporté également ceci:

« Tous les musulmans rapportent que le Prophète contraignait des gens à se convertir à l’islam,il n’acceptait d’eux que la conversion à l’islam et décidait de les tuer s’ils refusaient. C’était le cas des arabes idolâtres, des apostats qui ont dévié de la religion de la vérité vers la mécréance, et d’autres cas semblables. » (At-Tabari, volume 5, p.414-415, Sourate 2 verset 256.)

Pour le musulman, le jihâd est un devoir religieux par lequel sa place au paradis est garantie. Abd al-Rahman ibn Sakhr Ad-Dawsi, compagnon du Prophète, rapporte que celui-ci a dit:

« Quiconque meurt sans faire le jihâd (guerre sainte) ni y penser, mourra en une filière d’hypocrisie. » (Hâdith rapporté dans la Sahîh de Moslim).

Il a dit également :

« Muhammad a dit: « Sachez que le paradis est sous l’ombre des épées. » » (Hâdith de Al-Boukhari 4, 73)

« Muhammad a dit: « Celui qui prend part au Jihad (les guerres saintes) pour la cause d’Allah, sans que rien ne l’y oblige sinon sa croyance en Allah et en Son envoyé, recevra d’Allah sa récompense: le butin (s’il survit) ou le paradis (s’il est tué). » » (Hâdith de Al-Boukhari 1, 35)

Al-Boukari relate encore:

« Celui dont les pieds se sont couverts de poussière dans la voie d’Allah (c’est-à-dire Jihad), Allah le sauvera du feu de l’enfer. »
Pour recruter davantage de candidats au jihâd, Mahomet promit qu’au paradis, le martyr aurait droit à des épouses que l’on nomme  les « houris aux grands yeux noirs » (44.54, 52.20, 56.22), avec une poitrine magnifique aux « seins arrondis » (78.33) qui « ressemblent à des grenades, ils ne tombent pas et sont naturellement redressés », commente l’exégète Ibn Qayyim. Ibn Kathîr rapporte en parlant des hommes au Paradis que « leur passe-temps consiste à déflorer des vierges ». (2)
 
Nombre de musulmans peuvent se lancer tenter par ces promesses. Et le meilleur moyen d’accéder à ce paradis pornographique de l’islam reste le jihâd, comme en atteste un hâdith de la Sahîh Al-Boukhari:
 
« Un homme dit : « Ô Messager d’Allah, dis-moi un acte qui équivaut au combat dans la voie d’Allah ». Il répondit : « Tu n’en seras pas capable » L’homme dit : « Dis-moi quand même » Le Messager d’Allah dit : « Peux-tu, lorsqu’un combattant du Jihad est parti en expédition, jeûner sans interruption et passer la nuit en prière continuelle ? » L’homme dit : « Non » Puis le messager d’Allah dit : « Voilà donc ce qui équivaut au Jihad. »
Le jihâd constitue l’un des principes fondateurs de l’islam, permettant à ce dernier d’étendre son emprise sur la Terre et d’asservir les peuples par l’Épée. La monnaie d’échange contre l’engagement du combattant au jihâd consiste à lui offrir des prostituées au Paradis s’il meurt, ou de partager une partie du butin constitué en s’accaparant des biens du vaincu s’il survit. Voilà le crédo de la religion de Mahomet, qui lui-même disait avoir « vaincu dans la terreur. » (Al-Bukhari 4.52.220).
2. voir www.asraralislam.ch (la plupart des extraits de tafsirs sont tirés du même site).
 

5 commentaires

  1. Azty dit :

    Vous nous dites que le premier d’entre-eux est « Le verset 2 de la Sourate 190 ».
    C’est bien-sûr le contraire. Vous devriez rectifier connaissant la bêtise de nos détracteurs qui ne manqueraient pas de se focaliser sur ce détail.
    Bien à vous.

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  2. […] “Le Jihad dans l’islam : ce que disent les exégètes musulmans“ __________________________________ [1] C’est pour cette raison que […]

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  3. Sandy dit :

    Merci beaucoup pour votre travail

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